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En attendant que le camp du pouvoir dévoile son joker, les candidats déclarés pour briguer le suffrage des sénégalais trainent des déboires avec la justice.

Si le leader de Pastef les Patriotes est obligé de vider l’affaire Sweet Beauté pour avoir les coudées franches, Khalifa Sall comme Karim Wade sont encore sous le coup d’une décision de justice les empêchant de participer aux joutes électorales de 2024.

Pourtant, la procédure a été enclenchée et la résistance populaire a riposté, poussant le parquet à se ressaisir pour mieux engager le dossier. Les parties entendues dans le fond, l’échéance des élections locales et législatives a été  agitée pour renvoyer le dossier.

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Depuis lors, aucun acte consécutif n’a été posé pour éclairer la lanterne des sénégalais. Entre temps, le principal accusé a pris de la bouteille et devenu maire de Ziguinchor, Ousmane Sonko affiche ses ambitions présidentielles et sa déclaration de candidature a semble-t-il, secoué le cocotier.

Autant, les magistrats se disent prêts à prendre leurs responsabilités pour une bonne administration de la justice, autant le dossier, de par sa charge politique, reste une bombe à déflagrations qui peut semer le chaos dans le pays.

Il n’est plus possible de passer par pertes et profits cette affaire qui renait de ses cendres. A défaut d’un non-lieu, prononcé en intime conviction par un magistrat instructeur, pour décanter la situation et sortir le pays de l’ornière, il faut impérativement que le justice se ressoude à une trajectoire de rendre justice à travers un procès public qui permettra aux populations de savoir, en dehors du « complot »,les dessous  des massages suspects du patron de Pastef qui lui valent aujourd’hui les déboires d’un opposant en bisbilles avec la justice, rapporte Kritik

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